Turkey and the EU have signed an agreement on illegal immigration
Monday 16 December, Turkey signed a long-anticipated agreement to take back immigrants who illegally enter the EU from the Turkish territory, in return for visa restrictions being lifted for their citizens travelling across Europe. Recep Tayyip Erdogan, the Turkish prime minister, called the deal a milestone.
Turkish Foreign Minister Ahmet Davutoglu and EU Home Affairs Commissioner Celecilia Malmström also signed an accord to start discussions on dropping visa requirements for Turks visiting Europe.
This agreement has revived hopes for new momentum in stalled bilateral relations between Ankara and Brussels.
The deal stalled in 2012, with Turkey refusing to sign as the EU would not commit to starting negotiations on the visa-free travel regime.
Turks have long complained about onerous visa demands from European countries, designed to restrict Turkish citizens from flooding labour markets.
The deal on the lifting of visa restrictions is expected within three years, but Erdogan said he hoped it could be done much sooner.
Opinion : This agreement brings benefits to both Tukish and EU citizens. As a result Turkey may get closer to Europe and eventually join the European Union.
La Turquie et l'Union Europénne signent un accord sur l'immigration clandestine
Lundi 16 décembre, la Turquie et l’UE ont signé un accord prévu de longue date qui prévoit le rapatriement d'immigrants clandestins entrant dans l'Union Européenne par le territoire turc. En retour, l'Europe s'engage à simplifier les procédures concernant les visas pour les citoyens turcs voyageant dans l’UE. Recep Tayyip Erdogan, le premier ministre, a qualifié cet accord d'étape importante.
Le ministre turc des affaires étrangères, Ahmet Davotoglu et le commissaire des affaires intérieures de l'Union Européenne, Celecilia Malmström, ont également signé un accord afin d'entamer des discussions sur l'abandon des exigences concernant les visas pour les Turcs visitant l'Europe.
Cet accord ravive l’espoir d'un nouvel élan dans les relations bilatérales entre Ankara et Bruxelles, au point mort depuis 2012. La Turquie refusait de signer car l'Union Européenne ne voulait pas entamer de négociations concernant la supprimation des visas.
Les citoyens turcs se sont longtemps plaints de la politique des visas très onéreux mise en place par les pays européens, pour empêcher la main d’œuvre turque d'inonder le marché du travail européen.
La levée des restrictions de visa est prévue dans trois ans, mais M. Erdogan a déclaré qu'il espérait que cela pourrait se faire beaucoup plus tôt.
Opinion : Cet accord apporte autant de bénéfices aux citoyens turcs qu'aux citoyens européens. Je pense aussi que c'est une bonne chose pour la Turquie car grâce à ces accords, elle peut se rapprocher de l'Europe et espérer rejoindre l'Union Européenne.
Sources :
Commentaires
Enregistrer un commentaire