Three Kurdish women assassinated in Paris
Last Wednesday, January the 9th, three Kurdish women were killed in an “execution-style hit” at the office of the Kurdistan Information Center in Paris. The victims were Sakine Cansiz, one of the founding members of the illegal Kurdistan Workers’ Party (PKK), Fidan Doğan, the Paris representative of the Brussels-based Kurdistan National Congress (KNK) and Kurdish activist Leyla Söylemez.
They were discovered at 2.00, the day after their death. Two of them were shot in the neck while the third had wounds to her forehead and stomach. The murderers are still unknown.
The Peace and Democracy Party (BDP) has called on people to stage protests throughout the world to urge Parisian authorities to find the perpetrators of this massacre.
French antiterrorist experts don’t think that those executions have been conducted by Turkish authorities. “It’s difficult to imagine Turkish intelligence conducting operations on Kurds, here in France- especially in the context of the current negotiations with the community”, a judge said. Moreover, police and judicial cooperation is one of the areas where Paris and Ankara agree the best. Law enforcement officers are first looking into the possibility that the women were killed as a part of an internal struggle within the PKK.
This massacre came at a time when the Turkish government had launched a new round of talks with the PKK’s imprisoned chief Abdullah Öcalan in an attempt to end the three-decade-old conflict between security forces and the outlawed PKK. According to the BDP, the perpetrators of these murders aimed to sabotage this process but the party said the dialogue will continue despite the killings.
My point of view: Whether these Leyla Söylemez. Leur corps ont été découverts à 2 heures du matin le lendemain de leur mort. Le ou les auteurs de ces crimes n’ont toujours pas été démasqués. Le Parti pour la Paix et la Démocratie turc (BDP) a lancé un appel au monde entier pour manifester afin d’encourager les autorités parisiennes à trouver les coupables de ce massacre au plus vite.
murders are linked to the conflict between Kurds and the Turkish government or not, this one has to stop. The Kurds has been enduring government repressions for too long. The BDP’s announcement about the non-impact of these murders on the process with Öcalan preserves hope for the future. Politicians show that they value this peace process.
Juliette, January 16, 2013.
Trois femmes kurdes assassinées à Paris
Mercredi dernier, le 9 janvier, trois femmes kurdes ont été retrouvées sans vie au bureau du Centre d’Informations Kurde de Paris. Deux d’entre elles ont été abattues d’une balle dans la tête tandis que la troisième a succombé à ses blessures au front et au torse. Les victimes sont Sakine Cansiz, un des membres fondateurs de Parti des Travailleurs Kurdes (PKK), parti interdit, Fidan Doğan, qui représente à Paris le Congrès National Kurde basé à Bruxelles (KNK) et l’activiste kurde.
Selon les experts antiterroristes français, le gouvernement turc ne serait pas à l’origine de la tuerie. « Il est difficile d’imaginer les services de renseignements turcs organisant des opérations antikurdes ici en France - surtout dans le contexte actuel des négociations avec la communauté internationale », a déclaré un juge. De plus, les coopérations policières et judiciaires sont un des domaines pour lequel Paris et Ankara s’accordent le mieux. Les enquêteurs parisiens s’intéressent en premier lieu à la possibilité que ces femmes aient été assassinées suite à un conflit au sein même du PKK.
Ce massacre est parvenu alors que le gouvernement turc avait relancé le dialogue avec Abdullah Öcalan, le chef du PKK incarcéré, dans le but de mettre fin au conflit qui dure depuis 3 décennies entre le parti hors-la-loi et les forces de l’ordre. Selon le BDP, les auteurs de ces meurtres voulaient saboter ce processus mais le parti a assuré que le dialogue continuerait malgré ces meurtres.
Mon point de vue : Que ce meurtre soit lié ou non au conflit entre le peuple kurde et le gouvernement turc, celui-ci dure maintenant depuis trop longtemps. Les Kurdes ont beaucoup souffert de la répression du gouvernement turc. C’est une très bonne chose que l’Etat renouvelle ses tentatives d’apaisement des tensions et j’espère que les 2 camps trouveront un terrain d’entente lors des discussions avec Öcalan.Ce massacre est parvenu alors que le gouvernement turc avait relancé le dialogue avec Abdullah Öcalan, le chef du PKK incarcéré, dans le but de mettre fin au conflit qui dure depuis 3 décennies entre le parti hors-la-loi et les forces de l’ordre. Selon le BDP, les auteurs de ces meurtres voulaient saboter ce processus mais le parti a assuré que le dialogue continuerait malgré ces meurtres.
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