The Turkish dilemma
Since
October 7, Turkey has been refusing to help Syrian Kurds fighting in
the town of Kobanie. This town located in Syria near the Turkish
border is the battlefield of the Western coalition and Kurds war
against ISIS (Islamic State in Syria). Inasmuch as Turkey is part of
the Western coalition since October 2, it is supposed to provide
material support to the besieged Kurds.
But
three days before the Turkish government had claimed that “they
won't help terrorists”.
Indeed
Turkey is still struggling with the PKK ( Kurdistan Workers' Party)
who has advocated Kurdish independence south east of Turkey for more
than 30 years.
The
Turkish government categorically refused to open their borders to
provide weapon, food and medical stuff to Kurds. That's why Cemil
Bayik a senior figure of the PKK threatened Turkey to resume the
guerrilla which had stopped 2 years ago if they continued to deny
help. After a second refusal by the Turkish parliament on October 11,
a PKK leader said “By approving this in parliament, Turkey has
ended the peace process".
Twenty
people have already
died in riots staged by Turkish Kurds.
Le
dilemme turc
Depuis le 7 octobre, la
Turquie refuse d'aider les Kurdes qui se battent à Kobanie. Cette
ville syrienne près de la frontière turque est un des champs
de bataille du conflit opposant les Kurdes alliés aux Occidentaux à
DASH.
Le
problème est que depuis le 2 octobre les Turcs font partie de la
coalition contre DASH et sont donc supposés fournir du matériel aux
Kurdes.
Trois
jours plus tôt le gouvernement turc a annoncé « qu'il n'aiderait
pas des terroristes ». La «justification» de la Turquie est que
depuis 30 ans, elle est en conflit avec le Parti des Travailleurs
Kurdes (PKK) qui revendiquent l'indépendance de la région kurde du
sud de la Turquie.
Le
gouvernement turc a refusé d'ouvrir un passage à ses frontières
pour réapprovisionner les Kurdes en armes, nourritures et soins
médicaux. C'est pourquoi , le leader kurde Cemil Bayik a menacé de
reprendre la guérilla qui avait cessé il y a deux ans si le
gouvernement turc ne changeait pas d'avis. Après un second refus du
parlement turc le 11 octobre, l'un des dirigeants du PKK a affirmé
qu' « en acceptant cette proposition au parlement, la Turquie avait
mis fin à la trêve ».
Déjà
20 personnes sont mortes dans des manifestations organisées par les
Kurdes de Turquie.
Sources
http://www.jpost.com/Middle-East/Kurdish-leader-threatens-Turkey-as-ISIS-continues-Syria-onslaught-378592
http://www.theguardian.com/commentisfree/2014/oct/10/syria-disaster-war-turkey-isis-pkk
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