Massive arrests nationwide
The editor in chief of Cumhuriyet, the main opposition newspaper, was arrested. He is accused of terrorist activities. Nine journalists had been arrested previously.
Since the aborted military coup of July 15, 2016, the government led by President Recep Tayyip Erdogan has conducted massive purges. More than 32,000 people including teachers, journalists, police officers and soldiers have been arrested after the coup. The president mainly accuses exiled opponent Fethullah Gülen. Erdogan had thousands arrested for complicity and one hundred media outlets shut down over the last four months.
The government is accused by western countries and defenders of human rights to use the emergency state to silence any criticism. Erdogan says that repression is necessary to prevent the risks of revolts. He also highlights the struggle against Daesh And the PKK (Workers ‘Party of Kurdistan) who are accused of terrorism to justify these arrests.
Vague d’arrestations dans tout le pays
Le rédacteur en chef de Cumhuriyet, le principal journal d’opposition, vient d’être arrêté. Il est accusé d’activités terroristes, neuf journalistes du même quotidien avaient déjà été arrêtés précédemment.
Depuis le putsch militaire raté du 15 juillet 2016, le gouvernement dirigé par le président Recep Tayyip Erdogan n’a cessé de vouloir purger le pays. Plus 32.000 personnes dont des milliers de professeurs, de journalistes, de policiers et de militaires ont été interpellées après le coup d’état.
Le président accuse principalement l’opposant au pouvoir Fethullah Gülen qui est en exil mais M. Erdogan a fait arrêter des dizaines de milliers de personnes pour complicité et a fermé une centaine de médias.
Le gouvernement est accusé par les pays occidentaux et les défenseurs des droits de l’homme d’utiliser l’état d’urgence pour faire taire toute critique. Erdogan prétend que la répression est nécessaire pour empêcher les risques de révoltes. Il met également en avant le combat contre Daech et le PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan) accusés de terrorisme par l’état turc pour justifier ces arrestations qui durent depuis quatre mois.
Raphaël
Since the aborted military coup of July 15, 2016, the government led by President Recep Tayyip Erdogan has conducted massive purges. More than 32,000 people including teachers, journalists, police officers and soldiers have been arrested after the coup. The president mainly accuses exiled opponent Fethullah Gülen. Erdogan had thousands arrested for complicity and one hundred media outlets shut down over the last four months.
The government is accused by western countries and defenders of human rights to use the emergency state to silence any criticism. Erdogan says that repression is necessary to prevent the risks of revolts. He also highlights the struggle against Daesh And the PKK (Workers ‘Party of Kurdistan) who are accused of terrorism to justify these arrests.
Vague d’arrestations dans tout le pays
Le rédacteur en chef de Cumhuriyet, le principal journal d’opposition, vient d’être arrêté. Il est accusé d’activités terroristes, neuf journalistes du même quotidien avaient déjà été arrêtés précédemment.
Depuis le putsch militaire raté du 15 juillet 2016, le gouvernement dirigé par le président Recep Tayyip Erdogan n’a cessé de vouloir purger le pays. Plus 32.000 personnes dont des milliers de professeurs, de journalistes, de policiers et de militaires ont été interpellées après le coup d’état.
Le président accuse principalement l’opposant au pouvoir Fethullah Gülen qui est en exil mais M. Erdogan a fait arrêter des dizaines de milliers de personnes pour complicité et a fermé une centaine de médias.
Le gouvernement est accusé par les pays occidentaux et les défenseurs des droits de l’homme d’utiliser l’état d’urgence pour faire taire toute critique. Erdogan prétend que la répression est nécessaire pour empêcher les risques de révoltes. Il met également en avant le combat contre Daech et le PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan) accusés de terrorisme par l’état turc pour justifier ces arrestations qui durent depuis quatre mois.
Raphaël
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