The PKK and the Kurdish issue

The PKK and the Kurdish issue

A suicide bomber attacked a police unit in the heart of Istanbul on Sunday 30 October. He had ties with the separatist Kurdistan Workers' Party (PKK) the governor's office in Istanbul said on Tuesday.
Vedat Acar, the suicide bomber, aged 24, born in Van, a city where a Kurdish majority lives, in southeastern Turkey had joined the group in 2004.
The bomb exploded in the morning in the most visited place of Istanbul, Taksim Square, injuring 15 policemen and 17 civilians. Officials said none of the injuries appears to be critical and the only person killed was the bomber.
The last suicide bombing that occurred near Taksim Square, which killed two policemen and his author, had been staged by the leftist party in 2001.

The PKK has killed more than 40,000 people since the early 1980s and his leader, Abdullah Ocalan has been jailed since 1999. The Kurdish extremists are a major threat to Turkey.
The government passed a law improving the cultural rights of Kurds and offering political recognition, however it is reluctant to introduce the Kurdish language in public schools.

This Kurdish issue is very sensitive in Turkey, a country with a very strong nationalist sentiment. Although Kurdish people account for 20% of the Turkish population and many of them speak Kurdish as their first language, the Kurdish identity was not recognized until recently.
The PKK is considered as a terrorist movement in Turkey, because of acts such as the Taksim Square attack.

Luis
Sources:
http://www.nytimes.com/2010/11/04/world/europe/04turkey.html?_r=1&ref=turkey


Le PKK et le problème kurde

UN kamikaze a attaqué une unité de police au cœur d'Istanbul dimanche 3 octobre. Il avait des liens avec les séparatistes du Parti des Travailleurs Kurdes (PKK), a déclaré mardi le bureau du gouverneur d'Istanbul.

Le kamikaze de 24 ans, nommé Vedat Acar, né à Van, une ville à majorité kurde en Turquie du sud, avait rejoint le groupe hors la loi en 2004.

La bombe a explosé dimanche matin dans la place Taksim la plus fréquentée d’Istanbul, blessant 15 policiers et 17 civils. Les fonctionnaires ont déclaré qu’aucune des blessures ne semblent être critiques, seul le kamikaze a été tué. Le dernier attentat-suicide ayant eu lieu près de Taksim Square, qui avait tué deux policiers et son auteur, avait été perpétré par des militants d’extrême-gauche en 2001.

Le PKK a fait plus de 40.000 morts depuis le début des années 1980 et son leader, Abdullah Ocalan, est emprisonné depuis 1999. Le PKK, qui lutte pour l’autonomie du sud-est de la Turquie est donc une grande menace pour le pays.

Le gouvernement a adopté une loi améliorant les droits culturels des Kurdes et leur offrant une reconnaissance politique, cependant il reste réticent à introduire la langue kurde dans les écoles publiques.

Le conflit Kurde reste un sujet sensible en Turquie où le sentiment nationaliste est particulièrement fort.
Encore très récemment, l’identité kurde n’était pas reconnue alors que ce peuple représente 20% de la population et que pour la majorité d’entre eux, le kurde est leur langue principale.

Le PKK est par ailleurs considéré par les Turcs comme un mouvement terroriste, notamment à cause d’actes tels que celui de la place Taksim.

Luis
Sources:
http://www.nytimes.com/2010/11/04/world/europe/04turkey.html?_r=1&ref=turkey

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