The tiger at the EU door
The tiger at the EU door
5th July
For decades, it was said that Turkey was not ready to join the European Union because it was not good enough economically to join it.
This argument can no longer hold today because of its rapidly growing economy.
"Now Turkey has more influence in the world than all EU members individually," said Finnish Minister Alexander Stubb. The transformation of its economy has been considerable because its budget deficit represented 16% of its gross domestic product and inflation was at 72%, 10 years ago.
Its dynamism both socially and economically has allowed Turkey to develop trade links with Israel, Russia, Saudi Arabia, Iran and Syria.
In June, exports increased by 13% compared to the previous year, with much demand from neighboring countries like Iraq, Iran and Russia. Turkey exported $ 1.6 billion of goods to Iran and Syria - $200 million more than the United States. With this development, Turkey is now nearer to meeting the criteria for adopting the euro than most currently struggling economies in the euro area.
Turkey has expressed its anxiety, Saturday 11 September about its difficulties of joining the EU.
Luis
Sources:
New York Times
http://www.nytimes.com/2010/07/06/business/global/06lira.html?_r=1&ref=turkey
Un sérieux candidat
5 Juillet
Pendant des décennies, on disait que la Turquie n’était pas prête à rejoindre l’Union Européenne en raison de la faiblesse de son économie.
Cet argument ne peut plus tenir aujourd’hui car la Turquie est une puissance économique en croissance rapide. "Aujourd’hui la Turquie a plus d’influence dans le monde que tous les Etats membres de l’UE pris individuellement", a estimé le ministre finlandais Alexandre Stubb. Il s'agit d'une transformation étonnante pour une économie qui, il y a 10 ans connaissait un déficit budgétaire représentant 16 % du produit intérieur brut et une inflation de 72 %.
C’est un dynamisme, à la fois social et économique qui lui a permis de développer des liens commerciaux, avec Israël, la Russie, l’Arabie saoudite, l’Iran et la Syrie.
En juin, ses exportations ont augmenté de 13 % par rapport à l'année précédente, avec une grande partie de la demande en provenance de pays à la frontière de la Turquie ou à proximité, comme l'Irak, l'Iran et la Russie. La Turquie a exporté pour 1,6 milliards de dollars de marchandises vers l'Iran et la Syrie, 200 millions de dollars de plus que les États-Unis. Grâce à cette évolution, la Turquie est maintenant plus près de remplir les critères pour adopter l'euro que la plupart des économies en difficulté actuellement dans la zone euro.
La Turquie a manifesté son inquiétude samedi 11 septembre face aux difficultés de son adhésion à l’UE.
Luis
Source:
New York Times,
http://www.nytimes.com/2010/07/06/business/global/06lira.html?_r=1&ref=turkey
5th July
For decades, it was said that Turkey was not ready to join the European Union because it was not good enough economically to join it.
This argument can no longer hold today because of its rapidly growing economy.
"Now Turkey has more influence in the world than all EU members individually," said Finnish Minister Alexander Stubb. The transformation of its economy has been considerable because its budget deficit represented 16% of its gross domestic product and inflation was at 72%, 10 years ago.
Its dynamism both socially and economically has allowed Turkey to develop trade links with Israel, Russia, Saudi Arabia, Iran and Syria.
In June, exports increased by 13% compared to the previous year, with much demand from neighboring countries like Iraq, Iran and Russia. Turkey exported $ 1.6 billion of goods to Iran and Syria - $200 million more than the United States. With this development, Turkey is now nearer to meeting the criteria for adopting the euro than most currently struggling economies in the euro area.
Turkey has expressed its anxiety, Saturday 11 September about its difficulties of joining the EU.
Luis
Sources:
New York Times
http://www.nytimes.com/2010/07/06/business/global/06lira.html?_r=1&ref=turkey
Un sérieux candidat
5 Juillet
Pendant des décennies, on disait que la Turquie n’était pas prête à rejoindre l’Union Européenne en raison de la faiblesse de son économie.
Cet argument ne peut plus tenir aujourd’hui car la Turquie est une puissance économique en croissance rapide. "Aujourd’hui la Turquie a plus d’influence dans le monde que tous les Etats membres de l’UE pris individuellement", a estimé le ministre finlandais Alexandre Stubb. Il s'agit d'une transformation étonnante pour une économie qui, il y a 10 ans connaissait un déficit budgétaire représentant 16 % du produit intérieur brut et une inflation de 72 %.
C’est un dynamisme, à la fois social et économique qui lui a permis de développer des liens commerciaux, avec Israël, la Russie, l’Arabie saoudite, l’Iran et la Syrie.
En juin, ses exportations ont augmenté de 13 % par rapport à l'année précédente, avec une grande partie de la demande en provenance de pays à la frontière de la Turquie ou à proximité, comme l'Irak, l'Iran et la Russie. La Turquie a exporté pour 1,6 milliards de dollars de marchandises vers l'Iran et la Syrie, 200 millions de dollars de plus que les États-Unis. Grâce à cette évolution, la Turquie est maintenant plus près de remplir les critères pour adopter l'euro que la plupart des économies en difficulté actuellement dans la zone euro.
La Turquie a manifesté son inquiétude samedi 11 septembre face aux difficultés de son adhésion à l’UE.
Luis
Source:
New York Times,
http://www.nytimes.com/2010/07/06/business/global/06lira.html?_r=1&ref=turkey
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