Erdogan in Greece, a tense visit
9 décembre
2017
Since 1952 no Turkish president had come to Greece until the visit a few days ago, of Turkish President Recep Erdogan.
Mr. Erdogan said he was displeased because Greece didn’t respect the Treaty of Lausanne. That Treaty delimited Turkey’s borders after the first World War.
They failed to sign a peace agreement in Cyprus in 1974 and nearly went to war in 1996.
Today, Turkey claims that the rights of the Muslim minority of Turkish origin in north eastern Greece are not respected.
The Turkish government also deplores the decision not to extradite eight Turkish soldiers who fled to Greece after last year's failed coup.
Meanwhile, Greece complains that Turkey has repeatedly violated its airspace and naval airspace.
Relationships between Turkey and Greece are still difficult, but the two governments hope this
"historic" visit will open a new chapter in their bilateral relations.
Depuis 1952 aucun président turc n’était venu en Grèce jusqu’à la visite il y a quelques jours, du président turc Recep Erdogan.
M. Erdogan a exprimé son mécontentement au président grec, Prokopis Pavlopoulos, après avoir affirmé que la Grèce ne respectait pas le traité de Lausanne. Ce traité a délimité les frontières de la Turquie après la Première Guerre mondiale.
Le président grec a déclaré que la Grèce ne renégocierait pas ce traité.
Aujourd’hui, la Turquie affirme que les droits de la minorité musulmane d’origine turque dans le nord-est de la Grèce ne sont pas respectés.
Le gouvernement turc déplore également la décision de ne pas extrader huit soldats turcs qui ont fui en Grèce après le coup d’état avorté de l’an dernier.
Pendant ce temps, la Grèce se plaint que la Turquie ait violé à plusieurs reprises son espace aérien et naval.
Les rapports entre la Turquie et la Grèce restent toujours difficiles mais les deux gouvernements espèrent que cette visite « historique » ouvrira un nouveau chapitre dans leurs relations.
Since 1952 no Turkish president had come to Greece until the visit a few days ago, of Turkish President Recep Erdogan.
Mr. Erdogan said he was displeased because Greece didn’t respect the Treaty of Lausanne. That Treaty delimited Turkey’s borders after the first World War.
The Greek
President, Prokopis Pavlopoulos, said Greece would not renegotiate this treaty.
The
tensions between the two countries have been acute since 1830, when Greece
became independent from the Ottoman Empire.They failed to sign a peace agreement in Cyprus in 1974 and nearly went to war in 1996.
Today, Turkey claims that the rights of the Muslim minority of Turkish origin in north eastern Greece are not respected.
The Turkish government also deplores the decision not to extradite eight Turkish soldiers who fled to Greece after last year's failed coup.
Meanwhile, Greece complains that Turkey has repeatedly violated its airspace and naval airspace.
Relationships between Turkey and Greece are still difficult, but the two governments hope this
"historic" visit will open a new chapter in their bilateral relations.
Erdogan
en Grèce, une visite sous tension
Depuis 1952 aucun président turc n’était venu en Grèce jusqu’à la visite il y a quelques jours, du président turc Recep Erdogan.
M. Erdogan a exprimé son mécontentement au président grec, Prokopis Pavlopoulos, après avoir affirmé que la Grèce ne respectait pas le traité de Lausanne. Ce traité a délimité les frontières de la Turquie après la Première Guerre mondiale.
Le président grec a déclaré que la Grèce ne renégocierait pas ce traité.
Les
tensions entre les deux pays durent depuis 1830, date d’indépendance de la
Grèce.
Aucun
accord de paix n’a pu être trouvé depuis la crise de Chypre en 1974 et les deux
pays ont failli entrer en guerre en 1996.Aujourd’hui, la Turquie affirme que les droits de la minorité musulmane d’origine turque dans le nord-est de la Grèce ne sont pas respectés.
Le gouvernement turc déplore également la décision de ne pas extrader huit soldats turcs qui ont fui en Grèce après le coup d’état avorté de l’an dernier.
Pendant ce temps, la Grèce se plaint que la Turquie ait violé à plusieurs reprises son espace aérien et naval.
Les rapports entre la Turquie et la Grèce restent toujours difficiles mais les deux gouvernements espèrent que cette visite « historique » ouvrira un nouveau chapitre dans leurs relations.
Malo.
Source :
http://www.bbc.com/news/world-europe-42265260?intlink_from_url=http://www.bbc.com/news/topics/c207p54mdq3t/turkey&link_location=live-reporting-story
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