Turkey: Zara shoppers find complaints inside clothes
18
novembre 2017
"I made the clothes you are going to buy, but I have not been paid for it!"
These messages were found by the clients of Zara stores in Istanbul, they were hidden in jeans folds or in jacket pockets.
The words were left by workers from the local company Bravo Tekstil, which produced clothes for
Zara and other major international brands like Next and Mango.
During Bravo Tekstil's brutal bankruptcy in July 2016, workers said they had not been paid in the closing period.
“We had no other choice but start this campaign, we do not want to hurt Zara, we just want to get our money back," they added.
They are asking ZARA to compensate their losses and to pay them severance benefits.
#BravoIscileriIcinAdalet
Since the beginning of the campaign, thousands of people have posted social media support messages using the hashtag proposed on the messages: #BravoIscileriIcinAdalet, which means "Justice for Bravo Workers".
The online petition has already been signed by more than 270,000 people.
Zara in trouble
Zara's parent company, Inditex, claimed to have paid Bravo Tekstil all that was due to him, but that the money had not reached the employees.
Inditex, based in Spain, is one of the largest fashion retailers in the world. It has 7,405 stores and employs 162,450 people.
Its biggest brand, Zara, has already been criticized for being accused of slave and child labor, as well as exploitation of Syrian refugees.
In a statement, Zara also said that it "immediately took steps to try to help workers in this unfair situation".
The representative of the workers' union, DISK Tekstil, however, emphasizes that if Inditex does not compensate the wages due to each worker, his campaign will continue.
The Inditex Group promised to review these incidents and to strengthen the oversight of its suppliers' production facilities.
Malo
Turquie : les clients de Zara trouvent des revendications à l'intérieur des vêtements
"J'ai confectionné le vêtement que vous allez acheter, mais je n'ai pas été payé pour ça !"
Ces messages ont été trouvés par les clients des magasins Zara d’Istanbul, ils étaient cachés dans des pli de jeans ou dans des poches de veste
Les mots ont été laissés par des travailleurs de la société locale Bravo Tekstil, société qui produit des vêtements pour Zara et d'autres grandes marques internationales comme Next et Mango.
Lors de la faillite brutale de Bravo Tekstil en juillet 2016, les travailleurs n’auraient pas été payés pendant la période précédant la fermeture.
"Nous n'avions pas d'autre choix que de lancer cette campagne. Nous ne voulons pas nuire à Zara. Nous voulons juste récupérer notre dû. » ont-ils déclaré.
Ils réclament donc à Zara de compenser leur perte de salaire et de leur verser des indemnités de licenciement.
#BravoIscileriIcinAdalet
Depuis le début de la campagne, des milliers de personnes ont posté des messages de soutien sur les médias sociaux en utilisant l’hashtag noté sur les messages :
#BravoIscileriIcinAdalet, qui signifie « Justice pour les travailleurs de Bravo ».
La pétition en ligne a déjà été signée par plus de 270.000 personnes
Zara est en difficulté
La société mère de Zara, Inditex, a déclaré avoir payé à Bravo Tekstil tout ce qui lui était dû, mais que l'argent n’était pas arrivé jusqu’aux salariés.
Inditex, basée en Espagne, est l'un des plus grands détaillants de mode au monde. Elle possède 7 405 magasins et emploie 162.450 personnes
Sa plus grande marque, Zara, a déjà essuyé des critiques lorsqu'elle était accusée d'esclavage, de faire travailler des enfants et d'exploiter des réfugiés syriens.
Dans un communiqué, Zara a également déclaré qu'elle « a immédiatement pris des mesures pour essayer d'aider les travailleurs dans cette situation injuste ».
Le représentant du syndicat des travailleurs, DISK Tekstil, souligne toutefois que si Inditex n'indemnise pas les salaires dus à chaque travailleur, leur campagne se poursuivra.
Le groupe Inditex a promis d’examiner ces incidents et de renforcer la supervision des installations de production de ses fournisseurs.
Malo
http://www.bbc.com/news/world- europe-41981509
"I made the clothes you are going to buy, but I have not been paid for it!"
These messages were found by the clients of Zara stores in Istanbul, they were hidden in jeans folds or in jacket pockets.
The words were left by workers from the local company Bravo Tekstil, which produced clothes for
Zara and other major international brands like Next and Mango.
During Bravo Tekstil's brutal bankruptcy in July 2016, workers said they had not been paid in the closing period.
“We had no other choice but start this campaign, we do not want to hurt Zara, we just want to get our money back," they added.
They are asking ZARA to compensate their losses and to pay them severance benefits.
#BravoIscileriIcinAdalet
Since the beginning of the campaign, thousands of people have posted social media support messages using the hashtag proposed on the messages: #BravoIscileriIcinAdalet, which means "Justice for Bravo Workers".
The online petition has already been signed by more than 270,000 people.
Zara in trouble
Zara's parent company, Inditex, claimed to have paid Bravo Tekstil all that was due to him, but that the money had not reached the employees.
Inditex, based in Spain, is one of the largest fashion retailers in the world. It has 7,405 stores and employs 162,450 people.
Its biggest brand, Zara, has already been criticized for being accused of slave and child labor, as well as exploitation of Syrian refugees.
In a statement, Zara also said that it "immediately took steps to try to help workers in this unfair situation".
The representative of the workers' union, DISK Tekstil, however, emphasizes that if Inditex does not compensate the wages due to each worker, his campaign will continue.
The Inditex Group promised to review these incidents and to strengthen the oversight of its suppliers' production facilities.
Malo
Turquie : les clients de Zara trouvent des revendications à l'intérieur des vêtements
"J'ai confectionné le vêtement que vous allez acheter, mais je n'ai pas été payé pour ça !"
Ces messages ont été trouvés par les clients des magasins Zara d’Istanbul, ils étaient cachés dans des pli de jeans ou dans des poches de veste
Les mots ont été laissés par des travailleurs de la société locale Bravo Tekstil, société qui produit des vêtements pour Zara et d'autres grandes marques internationales comme Next et Mango.
Lors de la faillite brutale de Bravo Tekstil en juillet 2016, les travailleurs n’auraient pas été payés pendant la période précédant la fermeture.
"Nous n'avions pas d'autre choix que de lancer cette campagne. Nous ne voulons pas nuire à Zara. Nous voulons juste récupérer notre dû. » ont-ils déclaré.
Ils réclament donc à Zara de compenser leur perte de salaire et de leur verser des indemnités de licenciement.
#BravoIscileriIcinAdalet
Depuis le début de la campagne, des milliers de personnes ont posté des messages de soutien sur les médias sociaux en utilisant l’hashtag noté sur les messages :
#BravoIscileriIcinAdalet, qui signifie « Justice pour les travailleurs de Bravo ».
La pétition en ligne a déjà été signée par plus de 270.000 personnes
Zara est en difficulté
La société mère de Zara, Inditex, a déclaré avoir payé à Bravo Tekstil tout ce qui lui était dû, mais que l'argent n’était pas arrivé jusqu’aux salariés.
Inditex, basée en Espagne, est l'un des plus grands détaillants de mode au monde. Elle possède 7 405 magasins et emploie 162.450 personnes
Sa plus grande marque, Zara, a déjà essuyé des critiques lorsqu'elle était accusée d'esclavage, de faire travailler des enfants et d'exploiter des réfugiés syriens.
Dans un communiqué, Zara a également déclaré qu'elle « a immédiatement pris des mesures pour essayer d'aider les travailleurs dans cette situation injuste ».
Le représentant du syndicat des travailleurs, DISK Tekstil, souligne toutefois que si Inditex n'indemnise pas les salaires dus à chaque travailleur, leur campagne se poursuivra.
Le groupe Inditex a promis d’examiner ces incidents et de renforcer la supervision des installations de production de ses fournisseurs.
Malo
http://www.bbc.com/news/world-
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