A thriving economy

Currently, Turkey benefits from a thriving economy which attracts foreign investments. The Turkish economy grew by 8 percent in 2010 and by 8.5 percent in 2011. These results exceeded forecasts. The public debt was reduced: less than 40 percent of GDP compared with 74 percent in 2002.

These promising figures result from Turkey’s strategic position, agriculture and tourism.

Its neighbors, Iran and Iraq, are major energy producers. Therefore, Turkey is a key player in the energy business, allowing the setting up of many pipelines on its territory.

Turkey has plenty of vast arable lands and more than 30 percent of the population work in the agricultural system. The country is the breadbasket of the Middle East.

Tourism is also a huge money earner because Turkey is one of the most sought-after holiday destinations.

The unemployment rate is quite high: 12 percent. However, there is a significant underground economy. Therefore, this informal market leads to skewed statistics; lots of people earn cash but are considered unemployed.

My opinion:

The Turkish economy was thriving in 2010 and 2011. However, Turkey is dependent on the euro zone. A third of its exportations are directed to Europe while this area is currently going through a crisis. A quarter of its exportations are also intended for the Arab World that a potential conflict with Iran might disturb. In 2012, Turkish exportations will probably decrease because of this situation. And therefore, Turkey’s economic growth may well fade.

Lucile

http://www.moneymorning.com.au/20120412/the-turkish-economy-knocking-at-the-door.html

Une économie en pleine forme

Actuellement, la Turquie bénéficie d’une économie florissante qui attire les investisseurs étrangers. L’économie a connu une croissance de 8 pour cent en 2010 et de 8,5 pourcent en 2011. Ces résultats ont dépassé les espérances. La dette publique, quant à elle, a été réduite passant à moins de 40 pour cent du PIB contre 74 pour cent en 2002.

Ces chiffres encourageants résultent de la position stratégique de la Turquie, de son agriculture et de son tourisme.

Ces voisins, l’Iran et l’Irak, sont les principaux producteurs d’énergie au monde. La Turquie est donc un élément clé du marché de l’énergie car elle permet l’implantation de nombreux pipelines sur son sol.

La Turquie possède beaucoup de terres arables, d’ailleurs 30 pour cent de la population travaillent dans l’agro-alimentaire. Le pays se positionne comme le grenier à blé du Moyen-Orient.

Le tourisme est également un secteur qui rapporte, la Turquie étant un des endroits les plus prisés des vacanciers.

Le chômage est conséquent puisqu’il touche 12 pourcent de la population active. Cependant, la Turquie possède une économie souterraine de grande ampleur. Ce secteur informel fausse donc les statistiques. En effet, beaucoup de personnes gagnent de l’argent liquide non déclaré, elles sont par conséquent considérées comme sans emploi.

Mon opinion :

L’économie turque était très prospère en 2010 et en 2011. Cependant, la Turquie est dépendante de la zone euro. Un tiers de ses exportations lui sont destinées mais l’Europe traverse actuellement une crise économique. Un quart des exportations s’envolent vers le monde arabe où le risque de conflit avec l’Iran inquiète. En 2012, ces situations vont donc probablement engendrer une baisse des exportations turques. Par conséquent, la croissance économique de la Turquie risque également de chuter.

Lucile

http://www.moneymorning.com.au/20120412/the-turkish-economy-knocking-at-the-door.html

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